Un paysage immobilier français de plus en plus contrasté

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Alors que des premiers signes laissaient présager un atterrissage dès le mois de février, chez Orpi, les chiffres de l’activité sur le premier trimestre ne laissent plus aucun doute : le marché immobilier marque un temps d’arrêt.

Si cette situation de blocage était inévitable, elle n’implique pas pour autant une homogénéité sur l’ensemble du territoire et le paysage immobilier Français devient de plus en plus contrasté, même si de nouvelles opportunités se présentent aux acquéreurs. Ainsi là où les métropoles tournent au ralenti et affichent des baisses de prix significatives, comme à Paris (-5%, hors immobilier de luxe), Lyon (-7%), ou Bordeaux (-10%), les prix dans les villes moyennes poursuivent toujours leur ascension. Un marché grippé qui, que l’on soit en métropoles ou en villes moyennes, entraîne d’importantes baisses de compromis de vente et des marges de négociation qui vont croissant.

À cela s’ajoutent les contraintes liées aux crédits, dont les conditions d’accès se durcissent considérablement bien que le taux d’usure soit réévalué chaque mois depuis le 1er mars, et celles liées à l’audit énergétique rendu obligatoire pour toute vente de biens ayant un DPE classé F ou G depuis le 1er avril.

 

 

source: ORPI

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